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| Auteur | Message |
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InvitéInvité
| Sujet: La Page Arrachée Mer 10 Aoû 2011 - 16:52 | |
| Description du JeuÉcrire une page d’un récit comme ci celui-ci avait été arraché d’un livre qui n’existe pas. Fonctionnement de Base1. Tout d'abord, on lance le dé. Le chiffre que le dé nous indique correspondra au genre de livre dont notre texte devra être en lien (comme toujours, on doit toujours faire part aux autres joueurs le chiffre qui nous a été indiqué par le dé). 2. Votre texte devra se situer entre 500 mots minimum et 1000 mots gros maximum (pour les plus inspirés^^). 3. On dispose de 5 jours pour compléter notre texte, le corriger et le poster dans ce sujet-ci. 4. Comme toujours, votre oeuvre doit tenir debout et le style d'écriture doit se rapprocher au style correspondant au genre de livre qui vous a été destiné (exemple: un livre pour enfant ne sera pas munis de mots ultra compliqués comme on voit dans des romans pour adultes^^). 5. On gagne 2 points à chaque tour de jeu (chaque fois qu'un membre poste son texte et que celui-ci respectent les critères de jeu). 6. Notre page ne devra pas être la première page du livre (trop facile comme contexte). Par contre, cela peut évoquer l'élément déclencheur, une péripétie quelconque, le dénouement ou même la fin du livre étant donné qu'on n'arrache pas tous les pages d'un livre au même endroit. Cela peut être également un simple passage du livre au hasard (exemples: discussion entre un espion infiltré dans notre équipe et un opposant, la préparation du héros au combat final, la description d'une forteresse qu'il devra franchir, etc.) Fonctionnement des DésBref, on va fonctionner de la même manière que le jeu précédent. Tout d'abord, on va sur ce site: http://dicelog.com/dicefr Puis, on va dans la section "utilisation rapide" et on choisit le bouton "d6" (c'est un dé à 6 chiffres qui nous servira pour les besoin de la cause). Chaque nombre correspondra alors à l'un des 6 genres de livres que nous devrons prendre en considération pour écrire notre Page Arrachée. Voici les genre correspondant aux différents chiffres: Chiffre 1 = Manuscrits Anciens ou Livres SacrésChiffre 2 = Biographies d'une personne (doit être fictive) --> la page peut être écrite sous forme de journal intime également Chiffre 3 = Contes de Fée (pour enfant) Chiffre 4 = Livres d' Horreur ou Science-FictionChiffre 5 = Livres sur le Paranormal (apprendre la magie, communication avec les esprits, les voyages astrales, la cartomancie, témoignage concernant des activités paranormales vécus, etc.) --> vous pouvez inventer des témoignages fictifs, mais il faut que ça soit réaliste (que ça puisse arriver, même si vous ne croyez pas à cela^^) Chiffre 6 = Livres à l'Eau de Rose (genres: romantique ou tragique) Soit, j'ai fait exprès de prendre des genres dont nous ne sommes pas habitués d'écrire afin de nous faire pratiquer plusieurs styles d'écritures. Joueurs actuellement Valides - HeryJaylhe (meneur du jeu) - Trashx - Lygat - Sur ce, bon jeu! Hery P.S. Comme dans le Lipogramme, je vais attendre qu'un autre joueur demande d'être validé pour ce jeu avant de lancer les dés et de commencer ma propre partie.
Dernière édition par HeryJaylhe le Lun 7 Nov 2011 - 16:59, édité 8 fois |
| | | elm6Molécule
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| Sujet: Re: La Page Arrachée Sam 13 Aoû 2011 - 18:29 | |
| - Citation :
- 2. Votre texte devra se situer entre 500 mots minimum et 100 mots gros maximum (pour les plus inspirés^^).
Je suppose que tu as oublié un zéro pour le nombre de mots maximum. A part ça, je veux bien participer à ce jeu-là. (j'aime moins le lipogramme alors je préfère commencer ici) Edit de Kyousuke : J'ai moi-même ajouter le zéro manquant. |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: La Page Arrachée Dim 14 Aoû 2011 - 17:30 | |
| - Citation :
- Je suppose que tu as oublié un zéro pour le nombre de mots maximum.
Oh, mince^^ Je suis désolée pour cette erreur. Soit, merci Kyousuke d'avoir rectifié le tout^^ Bref, merci elm6 de ta participation. Pour pouvoir jouer tu n'as qu'à lancer le dé et écrire ton texte suivant les règles établies (à ne pas oublier: 5 jours maximum ce qui donne jusqu'au 18 août minuit.) N'oublie pas non plus de nous dire quel chiffre tu as obtenu pour nous donner une idée de ce que tu auras à écrire^^ à bientôt, Hery P.S. Je vais terminer mon Lipogramme, puis je tenterai moi aussi le coup avec ce jeu-ci. |
| | | elm6Molécule
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| Sujet: Re: La Page Arrachée Lun 15 Aoû 2011 - 11:48 | |
| Okay merci, je viens de lancer le dé. J'ai obtenu le 4, donc je vais devoir écrire un texte d'horreur ou de S-F.
Petite question au passage: on doit écrire un passage comme s'il était situé au milieu d'un livre et qu'on en sortait un extrait, ou c'est plutôt le genre d'une mini-histoire mais tout de même complète?
EDIT pour en dessous: merci, c'est bien ce que je pensais, ce n'était pas signifié dans les règles mais en même temps, le titre du jeu parle de lui-même, j'avais pas fait attention à ça. xD
Dernière édition par elm6 le Lun 15 Aoû 2011 - 15:41, édité 1 fois |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: La Page Arrachée Lun 15 Aoû 2011 - 14:17 | |
| Une page comme si elle était située au millieu d'un livre. On ne connaît pas le début. Tout ce qu'on sait c'est qu'elle provient d'un livre d'Horreur ou de Science-Fiction dans ton cas.
Edit: J'ai ajouté cette règle au fonctionnement de base du jeu suite à l'édition de ton message (ça sera plus facile à comprendre pour les autres joueurs^^)
Edit 2: J'ai lancé le dé et j'ai obtenu 3... ce qui donne le Conte de Fées. J'ai donc jusqu'au 20 août minuit pour remettre mon travail (la date butoire est la même pour toi aussi d'ailleurs^^). |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: La Page Arrachée Mer 17 Aoû 2011 - 15:28 | |
| Voilà^^ J'ai terminé ma partie. Bref, cela consistait à faire une Page Arrachée d'un Conte d'Enfant. Mon texte contient 521 mots et... enfin, j'ai fait de mon mieux^^ Le Texte en question: - Spoiler:
(Début de la page) […] Neuf ans plus tard… Le soleil brillait de par mille feux à l’horizon, tandis qu’une légère brise enveloppait la forêt en emportant avec elle l’odeur parfumée des arbres. C’est au cœur de cette immense région sauvage que se situait un manoir imposant et dont l’accès était banni par une large muraille de pierre. Soit, malgré le fait qu’aucune porte ne semblait apparente, l’endroit était habité par quatre fées mystérieuses veillant ainsi sur leur précieuse protégée… Bien installée du haut d’un arbre gigantesque, Danyèle lisait son livre préféré. Or, elle se permettait quelques fois de jeter un coup d’œil au paysage à peine visible de l’autre côté du mur. Tout ce qu’elle voyait c’était le haut des arbres, certes et un petit bout du ciel de ce monde mystérieux. Elle aimait toutefois s’imaginer voir des collines et des prairies de fleurs sauvages telles qu’il était écrit dans son bouquin. De son côté, la petite Flauria commença à perdre patience. Le comportement de la jeune femme était dangereux et il fallait la ramener à l’ordre. - Danyèle! Descendez de là sur le champ! lui cria-t-elle du pied de l’arbre. Celle-ci ferma donc son livre, puis prit une grande respiration. Elle lui demanda ensuite : - N’avez-vous dont jamais voulu savoir ce qui se trouve de l’autre côté du mur? - Il n’y a rien de l’autre côté qu’il valle la peine de s’y aventurer! Maintenant, descendez de là avant que je ne vous fasse descendre moi-même! Qui a dit que les fées étaient douces et sans malice? Tous les livres duquel elle avait lu jusqu’à présent décrivaient celles-ci comme étant des femmes parfaites. Soit, leurs caractères ressemblaient davantage à celles des humains qu’à ces créatures à moitié papillon des contes fantastiques. Voyant qu’elle ne réagissait pas face à ses menaces, Flauria s’impatienta. - Très bien! Je vous avais prévenu! Elle s’arracha une mèche de cheveux qui se transforma aussitôt en une longue baguette magique. Elle secoua l’espèce de bâton scintillant et aussitôt, l’arbre auquel Danyèle était perchée se mis à bouger de lui-même. D’un lourd craquement, les branches se courbèrent ainsi entre elles et ce, en faisant tomber quelques feuilles au passage. Elles prirent par la suite le corps fragile de la fille et la soulevèrent dans les airs. Étrangement, celle-ci n’avait pas peur. À-vrai-dire, elle avait l’habitude de ce genre de traitement. Ses tantes étaient de très bonnes personnes, certes, mais elle n’avait pas l’impression qu’elles savaient s’occuper d’une humaine comme elle. Soit, l’arbre la déposa doucement au sol, puis repris sa forme initiale. - Vous trichez, affirma-t-elle en grognant. - Un jour, vous me remercierez. En quoi lui serait-elle un jour reconnaissante? Ça, elle l’ignorait totalement. Elle approuva néanmoins ses paroles d’un geste de la tête. Flauria, quant à elle, se contenta plutôt de laisser tomber sa baguette au sol. Celle-ci se mit alors à redevenir le long cheveu qu’elle était au départ. - Pourquoi faites-vous cela? Ai-je fait quelque chose de mal? - Vous n’avez rien fait de mal. Sachez que tout ce que nous faisons c’est pour votre bien uniquement. […] (Fin de la page)
Je vous dis donc à bientôt et bon jeu! Hery P.S. J'ai lu mon texte à une fillette de 8 ans et elle a adoré (elle a tout compris également ce qui est le plus important étant donné que j'ai e du mal à utiliser des mots simples^^). |
| | | elm6Molécule
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| Sujet: Re: La Page Arrachée Mer 17 Aoû 2011 - 16:28 | |
| Hopla! Mon texte est prêt. J'ai choisi la SF pour ce coup. - Spoiler:
[…] Et voila. Panne de fluide. Le moteur à H3O me lâche même pas trois cents kilomètres avant d’arriver. A quoi ça correspond ? Trois ou quatre minutes de vol ? Pas plus… Mais à pieds, au milieu de désert noir d’Irtak, ce sera un peu plus long. Je suis un des rares hommes encore vivants qui aiment marcher, c’est une chance. Et j’ai un sac plein de bouffe. Ça aussi c’est une chance. Cinquante capsules dans la poche droite, je tiendrais un bon nombre de jours. Et ma réserve de création d’eau minérale fonctionne encore, merci le cyber-dieu, j’ai au moins une chose qui ne tombe pas en panne.
La marche sur Irtak est assez monotone. Les trois soleils forment un triangle autour de ce désert, et leurs rayons s’annulent respectivement, la lumière bleue du Grand Froid atténuant les effets d’Atoms le Lointain et de Viva l’Etoile Naine. Le sol est boueux, car les détritus de la décharge planétaire ont, par un processus naturel, traversé les couches du sol jusqu’à regagner l’air libre à cet endroit précis. Ça ne pue pas vraiment, mais ça reste peu ragoûtant. Je devrais passer la nuit sur une des plaques de Metarock qu’on trouve à intervalles réguliers. Elles furent crées pour les atterrissages d’urgence. J’ai laissé mon vaisseau personnel sur l’une d’elles. Au moins il est intact, un atterrissage dans la boue noire eût été autrement plus gênant, car l’engin se serait enfoncé de moitié dans le sol le temps que je revienne le chercher avec un dépanneur stellaire. Je bois une ration d’eau. Je me demande ce qu’il en est des autres messagers. La station amirale de la ville haute a eut l’intelligence d’envoyer plusieurs personnes avec le même message. Afin d’être sûrs que le contenu de celui-ci arrive à bon port. Une telle initiative me laisse penser que j’ai entre les mains un ordre ou une information de la plus haute importance pour le Conseil. Mais je ne suis pas habilité à ouvrir le message, et si je le fais, la reconnaissance électronique du disque porteur déclenchera une alarme. Aller en prison pour avoir été trop curieux serait bête. Je me contente donc de faire mon travail. Ceci dit, d’autres seront arrivés avant moi à ce rythme, même si je suis parti le premier.
La journée a filé et les trois astres se sont croisés. Chacun se couche de son côté, et l’absence de leurs rayons ne modifie que la luminosité. La température reste la même. C’est pas ici qu’on attrape un rhume à cause du chaud-froid. J’avance à tâtons, jusqu’à voir une lueur. Une lumière argentée, fluorescente et terne à la fois. C’est un Metarock. Mon salut pour la nuit. Je m’en approche prudemment et sans bruit. Des hors-la-loi, ou des flibustiers – de pirates de l’espace – aiment faire halte dans ce genre d’endroits peu fréquentés eux aussi. Et ils réservent un accueil peu ragoûtant aux touristes dans mon genre. Ma prudence porte ses fruits. Sur le Metarock, j’aperçois des mouvements. Un vaisseau est posé. Son inclinaison est bizarre, on dirait plutôt qu’il s’est à moitié crashé dessus. Des éclats de voix retentissent, et une silhouette sur le rock lève un bras. Un jet de plasma jaillit, et d’autres hommes, ceux autour du vaisseau, sont submergés par le flux. Ils hurlent un temps. Très court. Puis ceux à l’avant se désagrègent, carbonisés, tandis que les plus à l’arrière tombent, encore entiers mais probablement plus que morts. La scène, vue dans la pénombre, reste choquante, mais j’ai pu me retenir de hurler, ou encore de vomir. La voir de près eut été autre chose. La silhouette qui avait levé le bras, humanoïde elle-aussi, tourne sur elle-même, inspectant les alentours. Puis des propulseurs jaillissent de ses pieds, et elle décolle comme une fusée, dans une direction qu’elle seule connait. Je remercie encore une fois le cyber-dieu. Cette chose était un cyborg. Il devait être équipé d’une vision thermique et aurait pu me repérer s’il avait été moins négligeant. Heureusement, les cyborgs ont conservé un cerveau humain, et leur tendance à se tromper est aussi forte que chez n’importe lequel d’entre nous. Maintenant qu’il est assez loin, je m’approche du Metarock et du vaisseau échoué. Il s’agit d’un Z-Fly, un chasseur, comme le mien. Mais dans un état critique. Il a un réacteur endommagé, suite à un tir ennemi probablement, et le pilote a du se jeter sur le rock d’urgence. Triste fin que de se faire carboniser par un jet de plasma en débarquant. Je ravale ma salive, inspire un bon coup, et j’entreprends d’examiner les corps, juste au cas où. Je ne suis pas déçu. L’un deux, surement le pilote de l’engin, est un des messagers partis juste derrière moi de la ville haute. En voila un qui n’arrivera pas à bon port. C’est inquiétant. Il a été attaqué, par les autres hommes qui se trouvaient là on peut croire, car derrière un relief du Metarock se trouve un autre vaisseau, intact. Le cyborg cependant, n’a fait aucune différence, et les a tous tués. Combien y avait-il de camps dans cette altercation ? Aurais-je été moi aussi attaqué en arrivant là ? Alors, peut-être que ma panne n’est pas une malédiction, mais une bénédiction… En attendant, je vais dormir dans un coin, et demain, je marcherais encore. A moins que je n’arrive à démarrer le vaisseau de ces types. Ils n’en auront plus besoin à présent. Mais je ne me fait pas d’illusions là-dessus, je n’arriverais probablement pas à briser le code de sécurité. Quel monde pourri… […]
Ça a l'air un peu long, mais word m'indique 926 mots, donc c'est que ça doit être ça! o/ Ah et Hery j'ai lu ton texte. C'est plutôt sympa, même si on a du mal à s'imaginer le genre d'intrigue et de morale qu'apporterait le conte juste avec ta partie (mais dans un sens, un conte de fées peut parfois être long, et c'est pas en 500 ou 1000 mots qu'on dit tout). Question vocabulaire, c'est bien joué, en effet les mots utilisés sont accessibles. |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: La Page Arrachée Jeu 18 Aoû 2011 - 17:01 | |
| Très intéressant ton texte^^ On n'a pas de peine à remarquer le genre Science-Fiction en tout cas. L'univers est bien ficelé et le style se rapproche à l'atmosphère véhiculé. Soit, bravo (je t'ai attribué tes points comme il se doit^^). - Citation :
- Ah et Hery j'ai lu ton texte. C'est plutôt sympa, même si on a du mal à s'imaginer le genre d'intrigue et de morale qu'apporterait le conte juste avec ta partie (mais dans un sens, un conte de fées peut parfois être long, et c'est pas en 500 ou 1000 mots qu'on dit tout).
Si on ouvre une page au hasard d'un livre, c'est normal de ne pas connaître l'intrigue principale et de ne pas connaître la morale (la plupart du temps, la morale du conte se dévoile vers la fin de l'histoire... lorsque le héros as réussit son parcourt non seulement héroïque, mais sur le plan personnel également). Moi, mon texte se situe seulement après l'élément déclencheur. La fille est maintenue en captivité par les fées, car elle représente le dernier espoir de ce monde et il fallait absoluement la protéger des dangers qui menancent la région. Soit, après toutes ses années passées dans ce manoire, la curiosité de celle-ci est à son comble et elle finira certainement par sortir de là (comme toujours^^). Pour finir, je me suis beaucoup inspiré du genre de Disney (et des dizaines de livres de ce genre que j'ai à la maison^^). Un Conte de Fée n'est pas nécéssairement écrit en quelques pages. Il peut il avoir une intrigue beaucoup plus longue et bien plus ficelée (ce que j'ai voulu faire^^). Sur ce, à bientôt, Hery P.S. J'annonce que je joue une nouvelle session et j'ai obtenu un 2... ce qui donne la Biographie d'une Personne Fictive XD J'ai jusqu'au 23 août pour terminer mon texte. |
| | | elm6Molécule
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| Sujet: Re: La Page Arrachée Sam 20 Aoû 2011 - 10:35 | |
| J'ai aussi relancé le dé. Je suis tombé sur 5. C'est parti pour un livre traitant du paranormal. Ça va me changer c'est un style dans lequel je suis relativement mauvais mais tant mieux.
J'ai donc jusqu'au... 25 aout pour le rendre. Et bon courage pour la biographie. |
| | | TrashxAtome
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| Sujet: Re: La Page Arrachée Mar 23 Aoû 2011 - 17:06 | |
| Bonjour, si je peux, j'aimerai me joindre à vous. J'ai quelques questions (toutes bêtes) sur les différents thèmes. Pour ce qui du manuscrit anciens ou livres sacrées, cela doit bien sûr être fictif ? Et dans toutes les époques ? Voilà, et dans le cas où je peux participer, j'ai lancé le dès et j'ai fais 6. Tragique romantique. (Ah bah ça promet ) Cordialement, Trashx |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: La Page Arrachée Mar 23 Aoû 2011 - 17:23 | |
| Bien évidemment que tu peux te joindre à nous^^ Pour répondre à ta question: oui, cela doit être fictif et on peut utiliser n'importe quelle époque (même notre époque si tu décide que l'époque de sa découverte se situe dans un futur lointain^^). Toutefois, il ne faut pas tomber dans le panneau de la science-fiction ou du mythe... Si tu veux, je peux essayer de faire un exemple de ce que ça peut avoir l'air pour aider à la compréhension de tous^^ Tu as jusqu'au 28 août minuit pour rendre ton texte. Un texte Tragique, Romantique... j'ai hâte de voir le résultat^^ Edit: Mon texte est terminé. Celui-ci devait être une Biographie d'une Personne Fictive. J'ai choisit un cas psychiatrique que je connais bien dû à mon métier et à mon expérience de vie et cela est écrit sous forme de journal intime. Ce genre de cas est très difficile à cerner, car on ne sait jamais si ce qu'ils disent est vrai ou si c'est une crise de psychose... Jusqu'à ce qu'ils commettent l'irréparable. Soit, je vais également vous présenter des photos pour que vous compreniez de quoi je parle lorsque je parle de Marka et d'Argentino^^ Voilà le texte en question (998 mots): - Spoiler:
Jour 71
La préposée est venue nous réveiller à 7h10 ce matin. Elle était en retard. Ces dix minutes de trop ont été suffisantes pour permettre à ma colocataire de chambre de se libérer de sa contention. La marka fut bien été installée hier soir. Ce n’est pas ça le problème. Normalement, ils viennent toutes les demi-heures pour vérifier si elle est toujours en place. Toutefois, pour je ne sais quelle raison, la préposée n’est pas venue à l’heure cette fois et ma colocataire a été retrouvée les veines tranchées par un bout de miroir qu’elle a cassé.
Certes, elle fait partie des quelques patients que l’on appel « Houdini » en l’honneur du célèbre prestidigitateur. Ainsi, il n’est pas rare de la voir se promener dans les couloirs après le couvre-feu pour se chercher des objets tranchants ou pour voler dans les autres chambres. Souvent, lorsqu’elle est trop agitée, ils l’enferment dans la salle d'isolement; la fameuse pièce tant redoutée.
Pour ma part, on n’a jamais été obligé de me contentionné et ce, même si on avait prédit le contraire. Je suis du genre passif. Je ne comprends toujours pas pourquoi on m’a emmené dans cet endroit, car je n’ai rien en commun avec ces gens. Se sont plutôt des personnes possédant de graves problèmes en santé mental et non des artistes marginaux comme moi. Agressivité, hallucinations sévères, anti-sociaux, etc. Je vis depuis plusieurs mois dans un univers complètement différent de ce que j’ai toujours connu. Ma différence fait peur à bien des gens, mais jamais je n’aurais cru qu’on me prendrait pour un fou de cette catégorie-là.
Bref, la journée s’est déroulée comme d’habitude. Un cocktail de médicaments m’a été offert avant le déjeuné, puis celui-ci fut suivit d’une séance obligatoire avec le psychologue. Mon diné fut également tout ce qui a plus de normal. Un code blanc fut déclaré à l’égard d’un homme qui cherchait des problèmes et il fut aussitôt envoyé dans la salle d'isolement. Pauvre gars. Il croyait qu’on complotait contre lui et que les préposés étaient des assassins engagés pour l’éliminer… À mon avis, il a eut droit à l’Argentino aujourd’hui.
Pourrais-je un jour voir ma femme? Voilà était ma question habituelle destinée au psychologue. Celui-ci m’a dit qu'étant donné la médication qui semblait me « stabiliser », il s’arrangerait pour nous donner la possibilité de se voir quelques minutes.
« Je vais enfin savoir ce qu’elle advient. » pensais-je. Depuis que je suis enfermé dans cet asile psychiatrique, ils ne m’ont pas laissé le droit de lui parler. Ni en personne, ni au téléphone, ni en lettres écrites. Pourquoi faire cela? Cette question fut mainte fois demandée, mais on n’avait jamais osé me répondre. Il se passait quelque chose d’étrange ici. Je le sentais.
Jour 74
La préposée n’était pas en retard ce matin. Au contraire, elle était en avance. Je présume qu’ils ont également changé les médicaments de ma colocataire le jour précédent, car celle-ci n’avait pas bougé d’un poil durant la nuit.
Ma femme devait venir en après-midi. L’attente fut longue et je soupçonnais les employés de manigancer quelque chose. Ainsi, ils épiaient mes gestes, ils écrivaient chaque mot sortant de ma bouche et ils cherchaient à m’isoler des autres patients en me proposant des tâches à effectuer que je n’avais jamais accomplit avant cela.
Durant l’avant-midi, je n’ai pas passé une seule minute en compagnie des autres patients. Mon dîné ne fut pas bien différent d’ailleurs, car pour la première fois, on m’a permis de manger dans ma chambre. Était-ce pour me récompenser ou y avait-il là une ruse de leur part qui m’échappait encore? Je méditais ainsi l’esprit de plus en plus amer face à ce qui se préparait.
Ma femme est venue à 15h00. Enfin. Je l’attendais plus tôt. Mon entretient avec elle fut d’abord silencieux. Elle paraissait distante à mon égard. Je lui demandai alors ce qui n’allait pas et elle m’a répondu qu’elle ne pourrait pas rester longtemps. Que se passait-il? Je remarquai une étrange odeur émanant de son corps. Ce n’était pas son parfum habituel. Comment le savais-je? J’avais emporté avec moi une bouteille de son essence afin de ne pas oublier son odeur. Je l’inhalais ainsi chaque soir avant de dormir pour me rappeler ce qui m’a échappé.
Je lui demandai finalement qui était l’homme qui partageait notre lit. Elle fut d’abord surprise par mes mots, puis elle se mit à pleurer. Elle me demanda pourquoi je faisais ça. Ses larmes étaient fausses va-de-soi. Il était évident qu’elle avait un autre homme dans sa vie. Si ça se trouve, c’était pour cette raison que je moisissais dans cet asile…
Tout devenait de plus en plus clair maintenant. Il fallait que je retourne à la maison pour éliminer la menace. Une fois celle-ci irradiée, je pourrais enfin retourner chez moi. Mais, il y avait un autre problème... Elle. Si elle m’avait envoyé ici c’était parce qu’elle complotait contre moi.
Je jetai ma chaise au sol en hurlant de rage. Je la traitais de menteuse, mais elle tenta de se défendre en disant qu’elle vivait chez sa sœur depuis mon incarcération et que cela n’avait rien à voir avec un autre homme. Je ne la cru pas. Je bondis alors par-dessus la table, puis tout devin subitement noir…
À mon réveil, j’étais dans la salle d'isolement. J’étais nu comme un vers dans la fameuse Argentino dont on me parlait si souvent. J’ai passé 42 heures dans cette position inconfortable à me débattre et à crier tel un forcené. Soit, le patient avait raison. Ils complotaient tous contre nous. Le psychologue ne fut pas mieux d’ailleurs, car il affirma que c’était la raison pour laquelle on m’interdisait de voir ma femme… Parce que je possédais selon lui, un délire psychotique lié à la paranoïa et la maniaco-dépression.
Menteur. Eux, ils sont malades. Pas moi… Il faut que je sorte d’ici au plus vite et que je trouve d'où provient cette odeur inconnue.
Voici ce à quoi ressemble une marka: - Spoiler:
Une combinaison Argentino (je l'ai testé dans mon cours et c'est impossible de s'y échapper^^): - Spoiler:
à bientôt, Hery |
| | | TrashxAtome
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| Sujet: Re: La Page Arrachée Mar 23 Aoû 2011 - 19:22 | |
| Voilà ma participation : Un total de 804 mots- Spoiler:
Après avoir longtemps cherché ce coin caché dont elle m’avait fait part lors de sa dernière lettre, je me retrouvé face à une charmante petite clairière assombrie par les hauts arbres du royaume Del’Shar. Fatigué de ce trajet, je m’assoie sur ce rocher. Logé au centre de cette clairière, j’avais l’impression que je m’asseyais sur du coton, ça douceur me fit un sourire quand soudain j’entendis un craquement. Par prudence je dégaine ma lame que ma mère me léga avant sa mort. Je regardais tout autour de moi lorsque je vis une silhouette. Une belle silhouette. C’est elle, je la sens à son odeur de rose. Elle est venue, pour moi. Mon cœur se mit à battre très fort, je n’apercevais plus le décor, juste elle. Quand elle sortit du noir, sa robe rouge me chauffa encore plus le cœur. Elle n’a pas changé, ses cheveux … mon dieu ses cheveux, ce brun paradisiaque. Je ne pouvais plus la quitter des yeux. Elle sourit et s’assoie à côté de moi. Aucun bruit, juste cette douce mélodie de l’agitation des arbres et ce brin d’air frais pur. Je suis heureux, oui c’est ça, je suis l’homme le plus heureux.
Les deux colombes s’étaient retrouvées. Ils souriaient, se tenant la main. Pendant quelques minutes, aucun ne prononcèrent un mot …
Je la regarde, partout, des oreilles jusqu’à ses fines jambes. Ses yeux verts profond me plonge dans un rêve dont j’aimerai ne jamais quitter. Puis, au bout de quelques minutes elle me tendit sa bouche. Dans ce moment de tendresse, je répliquai. Des frissons me parcoururent le corps, et ont se mit à rire, rire sans jamais s’arrêter. Je l’ai prise dans mes bras et la faisais tournoyer. J’étais vraiment heureux, nous étions heureux ! Après les retrouvailles, nous sommes partit un peu plus loin, au bord d’une cascade, admirant les poissons sautillant de plaisir et le bruit monotone de l’eau. Il faisait froid, je lui donne ma cape et nous nous asseyons. Le ciel est bien à découvert, les étoiles nous blanchissaient le visage, ses yeux ressortaient encore plus, on pourrait les confondre avec deux belles émeraudes sans défaut. Après tout ce temps, une question me traversa la tête :
Rhylor : « Abia, cela fait combien de temps que l’on ne sait pas vu ? » Abia : « Trois ans mon amour, trois ans. » Rhylor : « Et comment va ton père ? Car j’imagine que la nouvelle de ton frère la rendu triste. » Abia : « Triste ? Fière je dirai. Quand il apprit la nouvelle, des larmes ont coulé, pas n’importe quelles larmes, des larmes de joie. » Rhylor : « Qu’il y a-t-il de joyeux à cela ? » Abia : « Tu n’es pas au courant ? » Rhylor : « Ça fait trois ans quand même ma luciole. » Abia : « Hm, c’est vraie pardon mon amour. Lorsque l’armée du Compte Chaselier arriva à Brandmand, les ennemis leurs ont pris en embuscade. Xefred, mon cher frère, prit son épée et courut vers eux pour faire face, et c’est au contact que… »
Soudain, un bruit fin sortie des arbres à gauche…
J’entendis un bruit sortant des arbres à gauches et je la vis. Je vis Abia transpercé par une flèche. Ses yeux s’assombrirent, les émeraudes furent brisées. Je me suis levé d’un geste brusque et mis Abia à l’abri. Je dégainai ma lame et crié : « Sortait bande lâche ! Vous ne me faîte pas peur ! » Un homme, un deuxième, un troisième sortirent des buissons. L’un deux était énervé et tapé l’un de ses camarades : « Non mais tu la fais exprès ! Mais … pourquoi ? Je te hais Valmir, je te hais et tu vas me le payer ! » Le jeune homme sortit une épée courte et le transperça. Quand il la retira, il me fixa à nouveau, j’avais peur, mais pour l’amour d’Abia, je vais me battre !
Les deux hommes rentrèrent en contact, mais l’étranger était bien plus fort, plus habitué au combat. Il mit à terre le jeune Rhylor et l’enchaina de coups de poings …
J’ouvre de nouveau mes yeux. Je suis à terre. J’arrive à peine à respirer et le mal de tête me fait régurgiter du sang. Je trouve difficilement la force de me relever. Mes yeux rivés sur les alentours, je ne vis personne. Le jour se lève à peine et le ciel reste pourtant sombre. Je commence à marcher lentement vers la petite clairière, et je ne vis toujours personne quand soudain j’aperçois un morceau de tissu rouge sur le rocher. Il y avait des traces rouges foncées sur celui-ci, du sang. Je me relève, regarde le ciel pour faire le bilan : Il se met à pleuvoir …
« Où suis-je ? » … « Qui suis-je ? »
Je remarque que j'ai des problèmes avec les temps, si vous avez des techniques pour ne pas s'embrouiller je suis preneur ! Cordialement, Trashx |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: La Page Arrachée Mar 23 Aoû 2011 - 22:31 | |
| Intéressant comme texte. Toutefois, il y a quelques fautes dont je veux te faire part (non seulement les verbes, mais aussi concernant tes choix de mots qui ne collent pas toujours ensemble). Je vais t'expliquer tes erreurs les plus courrantes, mais avant, je vais te montrer ton premier paragraphe corrigé afin de te montrer ce que je veux dire: - Spoiler:
Après avoir longtemps cherché ce coin caché dont elle m’avait fait part lors de sa dernière lettre, je me retrouvai face à une charmante petite clairière assombrie par les hauts arbres du royaume Del’Shar. Fatigué de ce trajet, je m’assoie m'assis sur ce un rocher. Logé au centre de cette clairière, j’avais l’impression que je m’asseyais sur du coton. Sa douceur me fit un sourire quand soudain j’entendis un craquement. Par prudence, je dégaina ma la lame que ma mère me léga avant sa mort. Je regardais tout autour de moi lorsque je vis une silhouette. Une belle silhouette. C’est elle. Je la sentais à son odeur de rose. Elle est était venue, pour moi. Mon cœur se mit à battre très fort. Je n’apercevais plus le décor. Juste elle. Quand elle sortit du noir, sa robe rouge me réchauffa (?) encore plus le cœur. Elle n’avait pas changé. Ses cheveux … mon dieu ses cheveux; ce brun paradisiaque. Je ne pouvais plus la quitter des yeux. Elle sourit et s’assit à côté de moi. Aucun bruit. Juste cette douce mélodie de l’agitation des arbres et ce brin d’air frais pur. Je suis heureux, oui c’est ça, je suis l’homme le plus heureux.
Voilà pour le premier paragraphe. Je vais donc t'expliquer ce que j'ai fai comme correction pour que tu comprennes tes erreurs. 1. Tes verbes: si tu écris un texte au passé. Il faut s'assurer que cela reste au passé. On ne passe pas du passé au présent ou au futur, sauf dans les dialogues et les pensées des personnages. De plus, lorsque c'est une action = au passé simple et une description = à l'imparfait, au passé composé ou au plus-que-parfait. Est-ce que tu me suis? 2. J'ai remarqué dans ton texte que le narrateur était présent (c'est le personnage principal). Soit, c'est la même chose que pour les verbes. On ne passe pas du "je" au "il". Si le narrateur c'est ton personnage principale, il faut que ça le reste tout au long du texte (par contre, on peut faire des varriantes en respectant certains critères de base). Bref, je vais te montrer l'une de ces variante dans un autre texte à mon prochain tour de jeu. 3. Tu écris beaucoup le pronom "ce" dans ton premier paragraphe et dans le cas de la phrase où il s'assoit sur un rocher ce n'est pas approprié. Je t'explique: on met le "ce" pour présenter quelque chose ou pour souligner une chose qu'on a déjà vu, utilisé ou qui nous est attitré. Exemples: Ce chat maudit m'a encore griffé le bras! Ce chien-là ne vaut pas grand chose! (dans les deux cas, le personnage présente la chose à son prochain... bref, pour t'aider à savoir si le "ce" est bien employé, pense que ton personnage pointe la chose du doigt en disant ça^^). J'ai enlevé le "ce" à ta phrase, car ton personnage s'assoie sur un rocher quelconque. Se n'est pas "ce rocher-là" ou "ce rocher issu de mes plus tendres souvenirs". C'est un rocher qu'il a prit simplement pour s'asseoir. Tu me comprends? 4. Il y a également beaucoup de fautes au niveau de la structure de tes phrases. Les points, les virgules, les compléments, etc.. Si j'ai bien compris la manière dont tu fonctionne pour écrire, tu mets des virgules pour mettre l'accent sur un fait quelconque (comme les profs. nous le disent constamment dans nos cours de français^^). Il faut apprendre à séparer les éléments, mais ça vient avec l'expérience et la lecture (d'où vient l'importance de participer aux jeux que je propose^^). Soit, je crois que j'ai pas mal fait le tour sur les petits points qui m'accrochent dans ton texte. N'oublie pas que l'on dispose de 5 jours pour le compléter. Alors, tu n'es pas obligé de te presser et de le poster illico^^ Prend le temps de te relire et de lire à voix haute ce que tu écris. Ça l'aide parfois. Et, pour le choix de tes mots, il serait bien que tu participe au Lipogramme. Ce jeu-là a justement pour but de nous obliger à peser nos mots et à réfléchir sur le sens de ceux-ci. Ça pourrait t'aider ça aussi. Bref, je t'ai attribué tes points comme il se doit. Merci d'avoir participé au jeu. Si tu veux jouer une nouvelle session, sens-toi à l'aise. Je suis là pour t'aider et de toute façon, c'est avec la pratique que nous arrivons à faire quelque chose de bien (surtout que se sont des genres auxquels nous ne sommes pas habitués d'écrire^^). à bientôt, Hery Edit: J'ai lancé le dé et j'ai obtenu 6... Bon. Je crois que c'est à mon tour de tenter d'écrire un texte Sentimental (je vais avoir du boulot sur la planche, car c'est vraiment pas mon point fort^^). J'ai jusqu'au 28 août pour écrire mon texte. |
| | | TrashxAtome
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| Sujet: Re: La Page Arrachée Mar 23 Aoû 2011 - 23:53 | |
| Ah merci ! Mes textes vont êtres plus français ^^ Sinon pour le "ce", je suis tout à fait d'accord sauf pour le rocher. J'ai mis le "ce" pour dire que c'est le seul, au centre de la clairière. Je voulais que ça soit un solide important puisque c'est ici, sur ce rocher, qu'il retrouve le morceau de tissu. S'il y a d'autre façon de le distinguer par contre je suis preneur. - Citation :
- je vais te montrer ton premier paragraphe corrigé
ça fait peur quand même toutes ces fautes :s Merci de ton aide constructif, Cordialement, Trashx |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: La Page Arrachée Jeu 25 Aoû 2011 - 8:43 | |
| Voilà^^ J'ai terminé ma Page Arrachée. Elle contient seulement 743 mots (même si ça parraît plus long). Soit, pour que vous compreniez un peu où je voulais en venir, je vais vous faire un bref résumé du contexte de l'histoire (je me suis creusée la tête pendant des heures pour trouver ce fichu contexte me permettant d'écrire ma Page XD): - Spoiler:
La fille (Leeze) est pauvre. Tellement pauvre qu'elle doit travailler à la bibliothèque municipale pour subvenir aux besoins de sa grande soeur qui est malade. Sa mère c'est une junkie-alcoolique typique et elle brûle la majorité de l'argent familiale dans la drogue et l'alcool (elle ne sait pas prendre soin d'elle-même et oublie souvent de faire l'épicerie, de payer les factures, de se laver, de manger, etc.). Soit, le conjoint de celle-ci est violent et il n'est pas rare qu'il use de la force envers Leeze pour prendre son argent ou pour obtenir d'autres faveurs.
Sa soeur est gravement malade, mais elle refuse de l'accepter. Elle suit également les traces de sa mère et passe la majorité de ses soirées à batifoller à gauche et à droite. C'est Leeze qui la ramène souvent à l'ordre et qui ramasse les pots cassés. Bref, la seule raison pour laquelle elle supporte ce cauchemar c'est pour l'amour de sa soeur et de sa mère. Elle sait que sans elle, elles seraient toutes deux perdues et que même si les autorités venaient à lui donner une vie plus convenable, elle aurait toujours une part de responsabilités envers celles-ci.
Jamie, lui, c'est donc le contraire de Leeze. Riche, arrogant et délinquant (au stade où je vous présente la Page Arrachée, il a un peu changé par contre). Soit, il a toujours tout eu dans la vie (argent, filles, respect de son entourage, etc.) et ça ne lui suffisait pas. Il travail dans la bibliothèque, car sa bande d'amis et lui avaient foutu le feu dans la bâtisse en guise de protestation contre les prof. Il est donc dans l'entretient ménager pour réparer les dégâts qu'il a causé.
Le Texte: - Spoiler:
(début de la page) […] Elle s’appuya la tête contre l’étagère. Son visage grimaçait de douleur et son souffle devenait de plus en plus saccadé. Sa blessure la rendait davantage souffrante au fur et à mesure que le temps passait. Toutefois, elle n’avait pas le choix. Elle allait s’occuper de la fermeture de la bibliothèque comme elle avait l’habitude de le faire, car personne ne devait se rendre compte de son état. Elle prit alors une grande respiration, puis elle tenta de ranger le dernier livre du charriot à sa place d’origine. Au même moment, Jamie cirait le plancher à l’autre bout de l’allée. Soit, il remarqua l’adolescente se crisper péniblement dû au mouvement qu’elle était obligé de faire. Il y avait également une tache de sang sur sa chemise; au niveau du bas de son dos. Il abandonna donc son ouvrage et s’approcha d’elle d’un pas nonchalant. - Tu es tombé? Elle sursauta brusquement sur ses mots et se tourna, de réflexe, dans la direction opposée. Elle retenait ses larmes du mieux qu’elle le pouvait et essaya de contrôler sa respiration. - Est-ce que tu pleures? l’interrogea-t-il sans comprendre l’ampleur de la situation. - Laisse-moi tranquille. - T’as pas besoin de te cacher tu sais. Ce n’est pas un crime de geindre. Pourquoi s’intéresser subitement à son bien-être? Quoiqu’il en fût, elle ne voulait pas l’impliquer dans son malheur. Pas lui. - Je t’en prie. Pour une fois dans ta vie, mêle-toi de tes affaires, lui supplia-t-elle désespérée. - T’es pas invincible Leeze Gordan. T’as le droit toi aussi d’être vulnérable par moment. Il avait le don de l’énerver. Or, malgré l’envie irréfutable de le remettre à sa place, elle ne répondit pas à sa dernière remarque. Il était clair qu’un gars comme lui ne comprendrait jamais ce qu’elle vivait. Elle s’apprêta donc à s’en aller, mais contre toutes attentes, le garçon lui agrippa le bras. Il la tira par la suite vers lui d’un geste grossier, puis il releva sa blouse; là où il espérait découvrir ce qu’elle tentait de dissimuler depuis le début de la journée. Seulement une fraction de seconde avait suffit pour lui dévoiler l’ampleur des dégâts. Il vit ainsi une entaille au niveau de ses reins. Celle-ci était entourée d’ecchymoses. Il ne savait guère combien de temps elle subissait ce mal, mais une chose était sûre; la plaie fut rouverte, car le sang s'était remis à couler. - Lâche-moi! Tu me fais mal! grogna-t-elle finalement. Elle le bouscula ensuite, mais l’agressivité de l’action la fit plier en deux. Elle eu même le souffle coupé tellement cela faisait mal. Sur ce, Jamie la lâcha troublé et c’est alors qu’il remarqua quelques ecchymoses jonchant également ses bras. - Tu devrais aller à l’hôpital pour faire examiner tout ça, se risqua-t-il de conseiller. Leeze ricana exaspérée. Pourquoi s’entêtait-il avec elle? Elle ne lui avait rien fait. Du moins, rien lui laissant croire qu’elle cherchait de la sympathie à son égard. - Contrairement à ce que les gens de ta classe peuvent croire, l’hôpital ne règle pas tous les problèmes. Dans certains cas, il arrive même que ça empire les choses. - Laisse-moi au moins regarder et voir si je peux nettoyer ça. - Non. Laisse. Tu as certainement mieux à faire que de soucier d’une fille à problèmes comme moi. Elle finit par s’asseoir suite à cela. Elle tremblait. Cela se voyait et son corps était couvert de sueur et de larmes. Pensait-elle vraiment ce qu’elle disait? Au fond d’elle-même, elle savait qu’elle avait besoin de lui. Elle savait aussi qu’en dépit de son caractère hautain et méprisant, il y avait quelque chose de sincère dans ses paroles. « Il est vrai que j’aurais pu être choqué par son comportement. Elle ne me laissait aucune chance. J’aurais pu tout simplement l’abandonner à son triste sort suite à ses paroles blessantes. De toute façon, c’était ce qu’elle voulait. Non? Soit, plus je passais de temps en sa compagnie, moins croyais en l’image de femme forte qu’elle se tuait à entretenir. Elle paraissait si froide, si avide de sentiments. Mais, malgré tout, j’ai vu en elle la fragilité dont elle se refusait d’accepter. J’y ai vu la peur dans les moments où elle prétendait avoir le contrôle. J’y ai vu également cet appel à l’aide dans ses yeux et dans sa voix; un appel qui m’a montré que j’avais moi aussi un cœur et que je n’avais pas hésité à le lui ouvrir pour lui porter secours… » […] (fin de la page)
Sur ce, je vous dit à bientôt, Hery - Citation :
- J'ai mis le "ce" pour dire que c'est le seul, au centre de la clairière. Je voulais que ça soit un solide important puisque c'est ici, sur ce rocher, qu'il retrouve le morceau de tissu.
Oui, le rocher a beau être un élément clef dans ton texte, mais l'utilisation du "ce" demeure tout de même incorrecte dans ta phrase. Au moment où il s'assoit, le rocher n'est rien de plus qu'un rocher. C'est plus tard qu'il prendra toute son importance et qu'il deviendra un élément très important dans ton texte. Je vais prendre le fait que ça soit le seul rocher dans la clairière et qu'il n'a pas le choix de s'asseoir dessus. Le "ce" n'est tout de même pas employable si on garde ta phrase comme elle est. Je vais donc modifier le tout pour te montrer un exemple. Pour ce faire, il va falloir que je modifie la phrase suivante également. "Fatigué de ce trajet, je m'assis sur une masse solide et rocailleuse située au centre de la clairière. À la fois solitaire et doux comme du coton, ce rocher me fit sourire." La raison pour laquelle le "ce" est bien employé dans mon cas c'est parce que j'avais déjà présenté le rocher dans la phrase précédente (tout comme tu l'avais fait avec le mot "trajet" qui avait été discrètement introduit par le fait que le héros avait longtemps cherché l'endroit en question). Ainsi, le mots "rocher" n'a plus besoin de pronom/déterminant introducteur, mais d'un pronom/déterminant qui viendra renforcir son utilité dans le texte. Tu comprends? Touka, je suis désolée si je parrais pointilleuse. Je veux néanmoins que tu saches que je fais ça pour t'aider. C'est bien de voir quelles sont nos erreurs, mais les comprendre c'est ce qui nous permet de moins les reproduire et de s'améliorer^^ |
| | | elm6Molécule
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| Sujet: Re: La Page Arrachée Jeu 25 Aoû 2011 - 16:18 | |
| J'ai eu des amis chez moi ces derniers jours alors j'ai pas pu me plancher sur le texte, que je ne rendrais donc pas à temps. Je me retire du jeu un temps. J'indiquerai par un post mon retour. Désolé mais je préfère ça plutôt que rendre un texte bâclé par manque de temps. ^^'
Edit Hery: Pas de poblème^^ J'aime mieux ça d'ailleurs. Ça prouve que l'écriture te tiens à coeur et que tu t'applique dans ce que tu fais. |
| | | TrashxAtome
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| Sujet: Re: La Page Arrachée Mer 7 Sep 2011 - 21:44 | |
| Bon voilà, j'avais lancé le dès il y a deux jours mais j'ai oublié de prévenir ^^' Le chiffre 4 : 884 mots- Spoiler:
Ça s’est produit, enfin. Toute l’escouade des « Loups Blancs » attend depuis quelques heures déjà pour pouvoir passer. « Patientez ! Patientez ! » Disait le général confortablement assis dans son fauteuil pendant que nous combattions les vagues des « Peaux blanches ». Ces sales bêtes, leurs yeux bleus brillants me donnent encore des frissons. Pendant huit heures nous attendions dans les tranchés que la bombe fasse exploser le bunker. Il nous reste plus que le QG munit de trois murs de 1m50 d’épaisseur en acier et équipés de meurtrières armés de tourelles lourdes. Il semble que les « Léopards verts » n’ont pas pu patienter … Cinquante hommes sacrifiés pour survivre si ça trouve 20 min de plus. Nous sommes dans le QG et nous tirons sur tout ce qui bouge, peut-être même des hommes à nous. Nos supérieurs sont tombés, les sergents prennent la place des colonels, les soldats contredisent les sergents, tout le monde se dispute, prie, et certains se suicide. Parfois, je me demande si le suicide n’est pas la seule solution pour éviter le pire. Si les « Peaux Blanches » tue un homme, celui-ci les rejoint munit des yeux bleus. D’après la radio, un croiseur de l’armée rouge vient de se retourner contre sa flotte. Ça va être une sacrée bataille, surtout que des traîtres sont surement à bord de la flotte. Les rejets des canons plasmas, causés par la bataille spatiale située juste au-dessus de notre repli, ont créé une sorte pluie brûlante sur toute notre zone. Cela donne un avantage pour les ennemis puisque notre visibilité est considérablement réduite, de plus, les peaux blanches sont déjà morts, peuvent-ils encore mourir ? Nous sommes donc réellement coincés ici. Le bruit des pas se rapprochent de plus en plus. Tout le monde est prêt à recevoir la vague lorsque soudain un des sergents se mit à créer : « - Sortez ! Vite, sortez ! dit-il au visage si terrifié. - Vous êtes devenus fou sergent Saolder ! Pourquoi sortir ? S’exprima un soldat. - Ils … Ils ne sont pas dehors. Ils sont en dessous ! »
La terre commence à bouger et des trous apparaissent. Des doigts blancs font leur apparition quand soudain, les corps sortirent d’un seul coup ! La panique prend place et fait fuir les soldats dans tous les sens. Avec une fine partie de l’escouade, nous courrons dehors en espérant de trouver un bunker suffisamment en bon état pour s’y réfugier. Par chance, notre armure résiste à la pluie. En route les rencontres sont nombreuses, des Peaux blanches de partout, ils nous encerclent. Deux hommes sont pris au piège quelques mètres plus loin. Les grenades soniques ne suffisent pas à arrêter les vagues ennemis. Je prends mon fusil lourd pour blindé et tir sur les bunkers en ruines pour faire tomber quelques débris. Un groupe de quatre homme de met en ligne pour faire un tir de barrage mais par malchance, des peaux blanches se trouvaient derrière eux. Pendant que je cours, j’ai remarqué quelques choses d’anormale. Il n’y a aucun corps, nulle part. Certes, les cadavres de nos hommes sont plus là puisqu’ils sont contre nous mais les cadavres des ennemis ? Je viens donc de faire une découverte qui va faire paniquer les troupes … Les balles à la tête de suffisent pas, je pense qu’il faut les brûler. Un sergent des « Corbeau jaune » me vois et cours dans ma direction et en criant :
« - Soldat ! La porte du secteur 5.2 est prise par les morts. Il ne nous reste qu’une seule issue. - Le bloc de munition … Dis-je inquiet. - C’est exact camarade, va informer ton groupe et retrouve moi là-bas. - À vos ordres sergent. »
Je me mets à courir de toute mes forces en croyant à cet espoir de survie mais arrivé au point de regroupent de mon escouade, il n’y a personne … Pas un cadavre ! Je tremble et comprends maintenant que c’est moi et moi seul l’escouade. Le dernier des « Loups Blancs ». Je dois en faire une fierté ! Mais la panique prend le dessus quand je vois toutes les ombres se ramenant vers moi. Je suis foutu … Un jeune loup solitaire face à une armée de morts. Je ferme les yeux et prie que cela se finisse et c’est à ce moment-là que j’entends des tirs venant du ciel. J’ouvre les yeux et surpris, je vois des flammes de partout tout autour de moi. Les morts crient à cause de la douleur, moi à cause de la joie. La colère vient ensuite, je tir en faisant des cercles sans trop regarder où je vise.
Les flammes finissent d’immoler les morts, je regarde le ciel et ne vit aucun vaisseau. Je regarde donc à droite, à gauche et je vis finalement le vaisseau derrière moi. Une épave en flamme. Et c’est ainsi que je comprends que la bataille n’est pas terminée. Un coup de chance venant du ciel, mais je dois profiter de l’espace pour rejoindre le point de rendez-vous du sergent. Mais comme je le pressentais, des Peaux Blanches me font face. Ils ne sont que six, si je les balaye avec … Oh malheur. Je n’ai plus de munitions !
|
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: La Page Arrachée Jeu 8 Sep 2011 - 0:52 | |
| C'est une atmosphère où la tension et le courage règnent en maîtres^^ Soit, le genre est respecté et pour ce qui est des fautes, il n'y a rien à ajouter que tu ignores encore. Je te refile donc tes points comme d'habitude et merci d'avoir participé^^
à bientôt, Hery |
| | | LygatMolécule
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| Sujet: Re: La Page Arrachée Lun 7 Nov 2011 - 16:48 | |
| Je suis assez interéssé par ce jeu, si tu peux m'inscrire ! J'ai lancé le dé et j'ai eu un 4 moi aussi... Merci ! |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: La Page Arrachée Lun 7 Nov 2011 - 17:02 | |
| Merci beaucoup pour ta participation. Tu ne peux pas savoir comment c'est apprécié^^
Je t'ai inscrit au jeu et étant donné que tu as déjà lancé le dé, tu dispose de 5 jours pour compléter ton texte. Je te souhaite bonne chance et si tu rencontre le moindre problème, n'hésite surtout pas à m'en faire part. Je tâcherai de voir ce que je peux faire pour t'aider.
à bientôt, Hery |
| | | LygatMolécule
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| Sujet: Re: La Page Arrachée Mer 9 Nov 2011 - 6:58 | |
| Et voila ! Et de 501 mots pile poil ! En gros, les aliens on rappliqué en pleine révolution Russe et s'en prennent à un groupe de Bolcheviks, Piotr, l'un d'entre eux, décide courageusement de tenir tête à l'envahisseur !
Piotr bondit et traversa la feuille de verre. Les morceaux de fenêtre le suivirent dans sa chute. Il s'écroula douloureusement sur le sol : « - C'est la dernière fois que je saute d'un troisième étage ! » Son fusil à la main, sa veste maculée de sang et de boue, Piotr poursuivit sa course. Cette fois, si il faiblissait, ce serait bien la fin ! L'alien avait d'abord sursauté en voyant la grenade aveuglante s'écraser sur le sol. Puis, il avait du fermer ses yeux afin de se protéger de la lumière aveuglante. Mais, une fois sa vue recouvrée, il ne ferait qu'une seule bouchée de l'humain armé ! Il traversa l'encadrement brisé et poursuivit sa traque. L'odeur musquée de l'alien fit tressaillir le bolchevik. Le monstre l'avait suivi ! Piotr se retourna vivement et épaula son arme, il visa au travers de la lunette et lorsqu'il fut enfin certain de pouvoir le tuer en visant la partie protubérante du crâne, il appuya sur la détente...
Une fois !
Deux fois !
Trois fois !
L'alien jaillit dans la direction du courageux tireur. Toutes griffes dehors. Piotr se jeta dans la neige glacée et tira son couteau. Il voyait à la lumière des lampadaires les traces de ses tirs sur le crâne la bête... Même pas de blessure ! Il tira son couteau et lança son fusil sur le monstre qui le broya d'un seul coup de griffes, puis se jeta sur le malheureux soldat ! « Alors c'est déjà la fin ? » Pensa Piotr. L'alien s'attaqua à son bras gauche. Piotr lâcha son couteau. Le Bolchevik ne s'expliquerait jamais d'où vint l'énergie du désespoir qui lui permit de décocher un coup de poing, insignifiant pour le monstre, mais décisif pour l'humain et surtout, il ne saurait jamais comment il parvint à glisser sa grenade dégoupillées dans la gueule de la créature... Décochant un violent coup de pied au monstre, Piotr parvint a bondir, il en déduit, en moins d'une seconde, que le crâne de la créature était protégé tandis que son ventre était le point faible de son anatomie. Le courageux révolutionnaire parvint à se jeter hors de portée du souffle de l'explosif.
L'alien n'eut pas cette chance et son corps tout entier eu l'honneur de repeindre les murs de la rue. Piotr se releva, passa sa main dans ses cheveux plaqués par la sueur et la neige, il n'avait plus froid mais ne put s'empêcher de porter à sa bouche une flasque de vodka, réflexe Russe oblige ! Puis, dans un élan d'énergie retrouvée grace au breuvage alcoolisé, il lança à la rue déserte un tonitruant : « Vive la révolution ! » Il rigola d'un rire gras et sonore, le froid et la boisson lui montaient à la tête... Puis, dans un bref moment de lucidité, il sentit une odeur musquée de pourriture... Il se retourna brusquement, mais il était trop tard, le second alien l'avait repéré... Malgré le froid et le vent, Piotr avait horriblement chaud. Il n'attendit pas son reste et fit jaillir une grenade aveuglante en direction de l'alien ! |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: La Page Arrachée Lun 14 Nov 2011 - 3:05 | |
| J'aime vraiment ton texte^^
L'ambiance est bien respectée, l'univers également. Le personnage a du caractère et de plus, j'aime bien les histoires avec des aliens ou des créatures de la sortes. Le seul bémol; il y a encore quelques phrases qui devraient être coupées. Elles sont parfois trop longues (c'est quand même pas si fréquent que ça en a l'air, t'inquiète^^). Je dirais que dans l'ensembe, l'histoire est très bien écrite par contre.
Je te donne tes points et merci pour ta participation. |
| | | LygatMolécule
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| Sujet: Re: La Page Arrachée Lun 14 Nov 2011 - 7:06 | |
| - HeryJaylhe a écrit:
- J'aime vraiment ton texte^^
Merci =D - HeryJaylhe a écrit:
- L'ambiance est bien respectée, l'univers également. Le personnage a du caractère et de plus, j'aime bien les histoires avec des aliens ou des créatures de la sortes.
J'aime beaucoup ce style d'histoires aussi ! J'avais vraiment envie de mettre ça en scène avec un bolchevik, l'histoire de la Russie est vraiment adaptée à ce style de texte ! - HeryJaylhe a écrit:
- Le seul bémol; il y a encore quelques phrases qui devraient être coupées. Elles sont parfois trop longues (c'est quand même pas si fréquent que ça en a l'air, t'inquiète^^).
Ouaip, ça c'est mon mauvais pencahnt pour les phrases à la Balzac --" C'est bien mon style ce genre de phrases indigestes ! - HeryJaylhe a écrit:
- Je dirais que dans l'ensembe, l'histoire est très bien écrite par contre.
Merci beaucoup ! J'éspérais que ça paraisse pas trop succint ( En même temps, si je bossais pas en écoutant Hatsune Miku ) - HeryJaylhe a écrit:
- Je te donne tes points et merci pour ta participation.
Merci encore ! Tu peux m'inscrire pour un second tour ! *lance le dé* =D *regarde le résultat* --" - Je peux le relancer ? Non ? Ben alors... 6Soit, je ne faillirais pas à me tache et rendrai donc un texte à l'Eau de Rose dans 5 jours ! ( déclaration à la Aragorn ) - Purée... Comment je vais faire cette horreur --" |
| | | LygatMolécule
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| Sujet: Re: La Page Arrachée Lun 14 Nov 2011 - 8:51 | |
| Je ne sais pas ce que j'ai e matin ( peut être deux heures de trou ) mais je l'ai ! Voila mon texte à l'eau de rose ! C'est banal de chez banal de chez banal ! Je pense qu'il est difficile de faire plus bateau comme intrigue ! Anyway : 657 mots ! - Spoiler:
De toutes les jeunes filles de son collège, Sacha est la plus triste, blessée dans un accident de la route, elle a perdu ses parents. De plus, la voiture ayant pris feu à ce moment la lui a laissé de grandes cicatrices sur tout le corps. Son visage n'a heureusement pas subi de dommages. Ainsi, elle refuse de montrer son corps. Heureusement pour elle, elle a la chance d'avoir un Q.I démentiel...Elle reprend espoir et cherche désespérément à tomber amoureuse afin de reprendre confiance en elle. Tristan était plutôt laid, Sam plutôt gringalet, Thomas était déjà prit... La prof me tira de mon expertise masculine et me demanda ce que fichait...
- Je
peux savoir de quoi parlait ce rêve qui, apparemment vous passionnait tellement plus que mon cours...
- Pas
de vous en tout cas.
Et zut ! Le défaut des enfants précoces, dont je fais partie, c'est que souvent, on parle plus vite que notre raison ! Autant mon sens de la repartie pourrait s'identifier à Usain Bolt, autant ma politesse pourrait s'identifier à un escargot essayant de tirer un semi remorque. C'est donc renvoyée de cours que je me présentais en salle de permanence. Et en plus ces pauvres collégiens immatures sont surexcités aujourd'hui...Une seule place libre. Assise à côté d'un garçon qui lit... Un garçon qui lit ? Voilà qui mérite un examen plutôt approfondi. Cheveux châtains, banal. Yeux verts, plutôt jolis. Assez grand et maigre, apparemment sportif. Et en plus il lit ! Un collégien qui lit ! Cela dit... Qu'est ce qu'il peut bien lire ?
- Les
Chevaliers d'Émeraude !
- Hein
?!
Il m'a parlé quand il a vu que je m'intéressait à soin bouquin ! Bref, il lit de l'héroic fantasy, et c'est très bien comme ça ! Un point de plus pour toi !
- Tu
ne connais pas ?
- Si
si ! Je connais ! Mais ça fait vraiment longtemps que je ne les ai pas lus.
- C'est
vrai que vu le nombre de pages par bouquin, on a tôt fait de perdre le fil...
Mais il parle super bien en plus ! Et voilà ! J'ai ma proie !
- Moi
c'est Sacha et toi ?
- Jules,
tu habites dans le coin ?
- Oui,
pas très loin et toi ?
- C'est
pas loin non plus.
Dites moi que je rêves ! Il est parfait ! Il faut que je lui plaise ! La cloche sonna et la ruée tonitruante des animaux, heu... Des élèves jusqu'à la sortie me propulsa loin de mon cher Jules ! Une fois jetée dans la cour, je parvint à le retrouver, un peu tard, au moment ou je parvint à lui attraper le bras, je sursautai en entendant la sonnerie. Je trébuchai. Il me releva avec une douceur et une précaution infinie. Je fermai les yeu pour me laisser bercer par ses bras rassurants.
- Est
ce que ça va ?
- Oui.
Merci. Dis-je en me relevant.
- Ils
sont vraiment dingues.
Nous étions deux dans la cour déserte. Je repoussai les mottes de terres sur mon jeans.
- Eh
oui, des millions d'années d'évolution pour arriver à une bande de nouilles qui se range au son d'une sonnerie stridente et même pas agréable à entendre !
- C'est
beau l'évolution, dit-il d'un air cynique, on pourrait presque croire que ça chage quleque chose...
- Heureusement
que Darwin n'est plus de ce monde...
- J'aime
bien les files cyniques. Il me sourit.
- Et
moi j'aime bien les garçons cultivés.
Nous marchâmes en silence dans le bâtiment vide de toutes agitation. Il me regarde :
- T'a
cours ?
- EPS
et toi ?
- Non...
- On
file ?
Et c'est ainsi que je séchais les cours pour la première fois, en compagnie du garçon de mes rêves. Nous déambulâmes en ville, conversant à propos de tout et de rien. Aux abords de mon immeuble, je bondis sur un muret et tente un numéro d'équilibriste. IL rigole en apercevant mon manque d'adresse et rigole toujours en me rattrapant au moment ou je tombe en hurlant. Je lui intimai de cesser de rire. Il me demanda alors :
- Pourquoi
est ce que je m'arrêterais de rire si je te trouve drôle ?
- Parce
que sinon c'est moi qui te fais taire ! Plaisantai-je.
- J'aimerais
bien voir ça !
Et oui, j'oubliais qu'un mec reste un mec ! Et que le moindre moyen de faire parler sa testostérone est une bonne occasion de prouver qui est le mâle dominant !
- On
parie que j'arrive à te faire taire ? Rugis-je.
- Vendu,
essaie !
Et je me jette sur lui, plaquant un bâillon de chair sur sa ouche. Je colle mes lèvres aux siennes...
Par contre l'Ipad a vraiment déconné sur la mise en page !!! ^^" Si un modo passe par la, je lui serai reconnaissant si il pouvait reparer cettez mise en page foireuse ^^" |
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