Elle était là, à côté de moi, elle me fixait, était-elle muette ? Quand enfin elle ouvrit la bouche, c'était pour me réprimander, comme quoi le travail qui m'était donné était inachevé. Ce fut vraiment étrange, cette créature m'était familière, pourtant, même en cherchant, ma mémoire ne la reconnut point.
Une lumière m'éblouit. Elle provenait d'un réverbère lointain, cependant, elle était
tellement forte qu'on eut dit qu'elle était là...
Ce n'était qu'un rêve ou un cauchemar plutôt. Le réveil fut pénible, ma tête tournait et aucun
organe ne répondait à l'appel.
La télé allumée projetait un programme qui devait tourner en boucle la nuit.
En allant voir de quoi il parlait, un drôle de bruit provint de la laverie et attira mon attention. Prenant ma lampe torche et mon courage avec moi, j'allai vite découvrir qui ou quoi déclenchait cette cacophonie. Quand la lumière arriva, je me retrouvai face à un miroir qui n'avait rien à faire ici.
Au lieu de m'y voir, il y avait une femme, vêtue de blanc me regardant à m'en glacer l'âme.
Une fumée noire l'enveloppa et la cacha de ma vue. Un rire inquiétant retentit derrière moi. Rien. J'examinai le plafond, le plancher, rien également...Le portrait de la femme me revint en tête, c'était la même que celle de mon rêve !!
Tout à coup, j'éprouvai une grande fatigue, et j'allai donc me recoucher, croyant que ce n'était que mon imagination.
Malgré mon manque d’énergie, je n'arrivai à dormir. Que me voulait cet étrange fantôme qui
hantait ma vie...? Cette image ne voulait guère partir de ma tête.
Une ombre apparut au coin de ma chambre...Elle approcha...Elle me fixa, un pendentif étrange pendant autour du cou.
Quand elle vit que je le regardait, L'entité éclata d'un rire fourbe...


Ce n'était qu'un rêve ou un cauchemar plutôt. Le réveil fut pénible, ma tête tournait et aucun organe ne répondait à l'appel.
La télé allumée projetait un programme qui devait tourner en boucle la nuit.
En allant voir de quoi il parlait, un drôle de bruit provint de la laverie et attira mon attention...

Sous pilote du RVL-16 : « Le sergent Korter nous cherche. Dois-je le prévenir de notre position ? »
Supérieur du RVL-16 : « Non, tente de l’occuper. On entre juste en pleine nébuleuse »
Sous pilote : « Quelle nébuleuse ? Princcili, lorvesith ?
Supérieur : « Oui Lorvesith »

Le RVL-16 sombre. Les fumées voilent tout, même les étoiles. Lorvesith est une nébuleuse Relteb. Une vieille prison pour les bêtes noires. Ces bêtes sont d’immense corps épineux couvert d’une dure coque d’un élément inconnu. Ils sont entièrement noirs, leurs yeux sont rouges voir même quelques fois vert ou violet. Ils possèdent un pouvoir extrême qui leurs permets de régner sur les nébuleuses. Les hommes ont du pot puisque les bêtes noires sont logées en principe que vers le centre des nébuleuses. Enfin en vue, le RVL-16 prend route vers une sortie qui semble pour le moment invisible. Les nébuleuses sont d’étroites routes munies de nul horizon. Les chemins se dispersent et les hommes se perdent. De plus, les ondes ne peuvent se rejoindre puisque nulles technologies ne peuvent se joindre entre-elles.

Sous pilote : « Le sergent nous poursuit, dois-je brusquer le moteur pour le semer ? »
Supérieur : « Non, on le mène de 4500 km, économisons nos ressources. »
Sous pilote : « Bien monsieur. »

Des lucioles dessinent de superbes horizons lumineux, surement une issue. Le RVL-16 est extrêmement fort et vol en vitesse-lumière. Il coûte cher et le supérieur s’en souvient. C’est en 2421, sur Yshoni, un pub qui groupe tous les pilotes de l’univers. Joris, le seigneur en ces lieux, coordonne des circuits pour les courses cosmiques. Le supérieur du RVL-16, Gorde Verssy, coordonne les récompenses des victorieux. Et un jour, lors d’un rush, il vit le RVL, une récompense très chère et exceptionnelle. Vicieux, il prit celui-ci, le rush non fini. Ce fut en 2421, les gens mutent en psychologie entre-temps …

Sous pilote : « Sinon, pour revenir sur le sujet « récompense », c’est pour bientôt ? »
Supérieur : « Contente-toi de survivre. »
Sous pilote : *soupir*
« Hum ? Deux tirs en fusions ont pour cible notre RVL ! »
Supérieur : « Notre ? C’est moi qui pris tous les risques lors du rush. »
Sous pilote : « Oui c’est juste, et pour les tirs en fusions ? »
Supérieur : « Tu es pilote il me semble non ? »
Sous pilote : « C’est encore juste et de l’union des milites déserteurs ! »
Supérieur : « Que dis-tu ? »

Le sous pilote tire et tue le supérieur. Il met son protège-bouche, un tube d’oxygène et ouvre une des fenêtres du RVL. Le supérieur est engloutit et sombre en ce moment entre les étoiles du monde …

Sous pilote : « Sergent Korter ? Ici Greter, vous me recevez ? »
Sergent Korter : « Ici le sergent Korter, je vous reçois. Votre position ? Et Verssy ? »
Sous pilote : « Verssy est mort. Notre position : Loc. 28.233.100.16.
Sergent Korter : « Bien joué, rendez-vous vers les étoiles du Northfeg, celle de l’extrême droite. »
Sous pilote : « Bien reçus. Je m’y précipite. »

Je suis défoncé, bourré juqu´à la moelle. A fond. Beaucoup bu, beaucoup fumé, mon coeur va comme une Ferrari dirigée par un Schumacher dans un grand jour. Je voyais flou, mon ame embrouillée... Moi ça va, j´ai dis ´non´ à partir du cinquième verre. Mes amis, à l´arrière de a caisse que je conduisais, au neuvième. J´avais prévenu. Enfin, les jeunes, c´est foutu, y a plus de jeunesse, moi je vous le dis! Voilà, où nous en sommes aujourd´hui. Je vous jure... Enfin bon, pas la joie de devoir ramener ces cinq gigolos jusqu´à chez eux. J´ai une sacrée migraine, je me demande ce que je vais bien devenir, bon dieu. Je me demande si je vais pouvoir conduir encore quelques secondes supplémentaires à ce rythme là... Quele plaie, quand meme! La prochaine fois, j´irais seul puisque c´est ça, sans ces gros salopiauds de première! Sauf que là, dans l´absolu, j´avais hyper soif. Non, que dis-je, méga soif ouais. Alors que je passais vers un pub! Quelle coincidence, arf, je vais devoir aller voir ce qu´il y a là-bas comme boisson pour raffraichir... Une bière, pas plus. Oh pis allez, deux bières, soyons fous! En "principe", je m´y serai refusé, mais bon, là j´ai plus choix, je ne peux dire non à l´appel divin de l´alccol fraiche. J´en fais beaucoup pour rien ou du moins pas grand chose, d´accord. Allez, j´y vais, et après on redémarre, promis juré! Les cinq imbéciles n´exagérons rien, je les laisse ici, je ne vais pas les emmener quoi! Ca a l´air de bien dormir à l´arrière. Donc je erine, j´ouvre ma bagnole et j´en sors. Ah oui, je la ferme derrière moi aussi, sinon... Arrivé dans le chef d´oeuvre réel, en gros ce magnifique pub bien nommé "Le Sixième Verre", je pris, eh bien...le sixième de la soirée, pour moi. Pour la République! Après, j´ai voulu essayer de nouvelles alccols, comme ça, pour explorer. Les verres, je ne les numérise plus, à quoi bon de toute façon? J´espère que la Grande Faucheuse n´a pas encore chopé les cinq alcooliques avec moi. Quoique en fait, non, je m´en fous pas mal, je suis déjà assez occupé comme ça! Assez grands pour se débrouiller seuls, non mais! Le barman me propose quelques nouvelles bières. Encore? Bah, sympa ce Johnny, un bon mec; allez! Ca ne se refuse pas, sinon je risque de passer pour un gros vilainpas beau. Allez hop, j´en reprends quelques unes... Qu´on se le dise! La soirée, elle s´annonce longue... Une fois ces "quelques" bières bonus ainsi finies t engorgées (bien bonnes, merci), je n´avais plus qu´à revenir sur le parking. UUn peu loin quand meme... Au moins quinze pas à faire pour arriver à la sortie! Aie... Je vais y aller. Les cinq gigolos? Aucune surprise, affalés sans broncher ni bouger d´un poil. Rien de changé depuis mon départ, ouf! A l´aise dans mon fauteuil, plus rien à faire, le bonheur? Je...dois...dormir... Mais... J´avais un fichu mal de crane. Ouch! Je ne savais plus quoi faire n´y penser.Je sors mon phone, dans l´espoir d´avoir un peu d´aide de mon père... Dire "sans grand espoir" serait un doux euphémisme, je peux vous l´assurer. D´ailleurs, pas de réponse. Je vous disais quoi déjà, hein? Ne jamais faire confiance! Je suis foutu, je n´ai plus qu´à prier la Vierge Marie ou je ne sais quelle connerie religieuse à deux sous et qu´elle vienne à mon secours, ou qu´elle m´envoie un efferalgan j´en sais rien... Mais quelque chose au moins, bon sang! Viens! J´aime bien, non, j´aime beaucoup l´alccol, mais elle ne me le rend pas super bien non plus, c´est le moins qu´on puisse dire! Je inis, par je ne sais quel coup miraculeux, à enfin m´endormir. Oh joie! Oh dodo! Nom d´une pipe en bois, j´ai failli me suicider, je n´en puvais plus! J´avais sommeil depuis une certaine période de la journée, et j´avais aussi pas mal faim; mais bon, je ne pouvais pas avoir la lune non plus...